Je trouve inadmissibles ces sous-entendus à propos d'un prétendu sexisme, de critiques qui seraient liées au sexe ou au genre. Je ne m'adresse pas à une élève, je ne suis pas ici un professeur – même si j'exerce effectivement cette activité par ailleurs – mais j'espère que les étudiants, après quelques années de droit, sauront faire la différence entre ce qui relève de la conversation de café du commerce et ce qui relève des fondements juridiques.