De la maison, cher collègue, excusez-moi !
Je vous reprochais donc de laisser au ministre de la santé le soin de s'adresser à nos concitoyens à la télévision pour annoncer certaines décisions sans que nous en ayons été informés préalablement. Cette méthode n'est pas acceptable ; elle n'est d'ailleurs pas acceptée par un grand nombre des collègues ici présents, et pas non plus par nos concitoyens. Imaginez que nous allons laisser pendant une période de six mois – une demi-année ! – aux mains de l'exécutif …