Il s'agit d'un amendement de cohérence rédactionnelle : la suppression de l'article 2, si l'Assemblée finit par faire preuve de bon sens, entraîne automatiquement celle de l'article 11 de la loi du 11 mai 2020.
Tant qu'on ne proposera pas de traitement précoce au covid-19, personne ne comprendra la nécessité de télécharger l'application StopCovid. Le Premier ministre lui-même ne l'a d'ailleurs pas fait…