Je m'excuse de reprendre la parole à ce moment du débat, mais je ne peux pas vous laisser, madame Panot, monsieur Coquerel, tenir de tels propos. Non, nous n'organisons pas une maltraitance de la forêt et des êtres humains.
Monsieur Coquerel, vous avez employé deux termes dont l'un me paraît délicieux venant du groupe La France insoumise : vous nous accusez de « disloquer » l'État. Je vous renvoie à cet égard aux propos que votre groupe tient parfois au sujet de ce qu'est la République, de ce que représentent les institutions, de ce en quoi nous croyons et de ce que nous défendons.