La DSIL, vous le savez, n'a pas, quant à elle, exactement le même objet que la DTER. À travers elle, ce sont les priorités de l'État qui sont déclinées, telles la transition écologique ou la mobilité, dont j'ai déjà indiqué qu'elles font partie des grandes priorités de sa politique. Si l'État ne peut plus décliner les grandes politiques qu'il définit, il lui sera difficile d'exercer ses compétences et de donner des orientations au pays. C'est pourquoi je vous propose de nous en tenir là.
Je l'ai déjà indiqué : avis favorable aux amendements du rapporteur. Sur tous ces amendements, en revanche, le Gouvernement émet un avis défavorable.