Tout à fait, monsieur le président. Quand nos collègues de droite voudront bien me laisser m'exprimer, j'interviendrai en vertu de l'article 58, alinéa 1, de notre règlement.
Cette discussion doit permettre aux parlementaires, dans la diversité de leurs groupes, d'exprimer leurs points de vue sur les subventions de l'État qui concernent leurs territoires. Cet état d'esprit doit nous conduire à permettre à un député comme Jean Lassalle, même s'il n'était pas le candidat que je soutenais lors de l'élection présidentielle, …