À vous entendre, nous serions tous et toutes d'accord pour dire que les néonicotinoïdes sont un désastre environnemental : actons cet accord !
La question suivante concerne les agriculteurs et leurs choix. Premièrement, – nous l'avons déjà dit – , l'argument relatif à la souveraineté alimentaire est faux et je souhaiterais entendre M. le ministre à ce sujet. Il est faux, parce qu'aujourd'hui, la moitié du sucre est exportée ; nous ne consommons que la moitié de notre production. Sur les 2 millions de sucres utilisés pour la consommation française, seulement 10 % servent à sucrer le café ou les yaourts.