mais en outre nous sommes cohérents : nous répétons depuis trois ans à la fois qu'il ne faut pas de diméthoate sur les cerises et qu'il faut instaurer un protectionnisme solidaire. C'est pareil pour le sucre ! Nous faisons preuve de constance et nous proposons des solutions ; nous ne nions pas qu'avec l'interdiction du diméthoate, nous livrons les producteurs de cerises français à un dumping environnemental ouvert à tous les vents d'Europe. S'il vous plaît, soyez attentif à nos propos et respectueux de nos arguments et de nos collègues.