Je crois beaucoup aux solutions de l'écologie chimique, notamment les phénolines sur la fétuque des prés ou les avoines, tous ces méteils sont très prometteurs, au-delà même de la betterave sucrière – je m'étonne qu'ils n'apparaissent pas dans votre plan de recherche.
Monsieur le rapporteur, à travers le comité que vous voulez créer, vous venez de décrire Écophyto. Comprenez que ça nous mette en rage ! Depuis trois ans, il n'est quasiment jamais réuni ;