Sa rédaction est différente, mais il va dans le même sens. En 2016, puis en 2018, lorsque l'interdiction a été prononcée dans toute l'Union européenne, nous avions bien mesuré les bénéfices et les risques liés à l'utilisation de ces molécules dont nous connaissons la toxicité, le large spectre et la rémanence. Nous savons que la balance penche définitivement du mauvais côté en raison des effets de ces substances sur le vivant.
L'amendement vise à limiter les dérogations aux seuls produits utilisés aujourd'hui dans l'Union européenne.