Mes chers collègues, je vous signale qu'il nous reste quatre-vingts amendements à examiner. Lorsque nous en étions à quatre-vingt-dix, vous avez décidé, dans une belle unanimité, de finir les débats ce soir. Je constate qu'il sera impossible d'examiner quatre-vingts amendements en vingt minutes. J'en appelle à la responsabilité de chacun. Comme M. Lescure l'a rappelé, soit nous terminons ce soir et le vote solennel aura lieu demain, soit la conférence des présidents prendra une décision demain matin. Aux uns et aux autres, je demande donc de ne pas multiplier les demandes d'intervention et de scrutin public. Je le dis devant M. Castaner qui vient d'arriver. En Béarn, nous avons l'habitude de responsables qui disent une chose et en font une autre. Ici, je vous propose ici de faire ce que nous avons annoncé.