Il aurait été opportun d'y associer davantage le Parlement. C'est malheureusement un constat que nous sommes très régulièrement amenés à faire et je tenais à le souligner dans cette discussion générale : nous sommes ici pour légiférer et travailler ensemble à améliorer les textes.
Cela étant, nous saluons les évolutions visant à faciliter la pratique de certains actes vétérinaires ou encore la liberté reconnue aux collectivités territoriales d'aider les vétérinaires dans les zones qui souffrent d'un déficit de soins. Dans ma circonscription des Vosges, territoire très rural, des vétérinaires spécialisés dans les soins aux grands animaux d'élevage m'ont dit regretter que le manque de jeunes à former rende leur métier extrêmement compliqué et leur interdise de venir en aide aux agriculteurs.