Il est question aujourd'hui, en 2020, d'améliorer le texte proposé ici même par Simone Veil en 1974. C'est une amélioration que nous voulons apporter à des femmes en détresse, qui connaissent des problèmes familiaux et des difficultés à décider. Nous leur proposons de réfléchir pendant deux semaines supplémentaires. C'est fondamental pour ces femmes dont la détresse est incroyable.
D'autre part, 3 000 à 5 000 femmes se rendent chaque année à l'étranger pour avorter. Qui, dans cet hémicycle, peut se mettre à leur place ?
Le 16/10/2020 à 11:53, Laïc1 a dit :
Résolvez leur détresse financière et familiale plutôt que de supprimer l'embryon. En 12 semaines, il y a le temps de réfléchir et d'être aidé financièrement par l'Etat.
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