En tant que membre du Gouvernement, madame la ministre déléguée, vous devriez nous exposer clairement votre position.
J'y insiste, les deux mesures cumulées – l'allongement du délai de douze à quatorze semaines et la suppression de la clause de conscience spécifique – auront des conséquences très graves. Je demande au Gouvernement de dire aux Français quelle est vraiment sa position.