Identifier des entraves n'a rien de stigmatisant. La très grande majorité des pharmaciens font très bien leur travail, et c'est précisément les soutenir que de pointer ceux qui ne le font pas correctement.
Il faut réaffirmer l'obligation qu'a la profession de délivrer aux jeunes femmes les traitements qu'elles demandent. Or des témoignages récurrents montrent que ce n'est pas toujours le cas. Pensez-vous qu'une très jeune femme de 16 ou 18 ans osera revenir chez un pharmacien qui l'a humiliée ? Les pharmaciens n'ont pas à juger du comportement de ces femmes ni à stigmatiser leur contraception anarchique. Il faut réaffirmer le droit des femmes.