… d'organiser la nature pour son progrès.
Nous avons demandé aux agriculteurs de nourrir la planète, c'est-à-dire, demain, 7 à 9 milliards de personnes. Imaginez-vous qu'en interdisant, entre autres, l'élevage, au nom du bien-être animal, nous pourrons organiser la subsistance de 9 milliards d'habitants ? C'est là, en réalité, le coeur d'un débat que les trois quarts d'heures qui nous restent ne suffiront pas à mener dans de bonnes conditions.