Je rappelle à M. Pupponi que l'objectif est de sortir d'un système engendrant tout de même la redistribution de plusieurs millions d'euros à des collectivités locales plutôt riches. Deux des ex-SAN sont en relative difficulté et les finances des cinq autres sont plutôt en très bon état. L'un d'entre eux, que je ne nommerai pas, dispose d'une épargne brute qui s'élève à 100 millions d'euros par an.