Je rappelle que nous nous trouvons dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale, où la parole est libre. Le rapporteur général a eu raison de rappeler que l'insulte est bannie de ce lieu, mais le reste relève de la liberté de conscience et d'expression de chacun des députés. Nous avons tous été investis, le 17 juin 2017, d'une mission : débattre dans cet hémicycle. M. Ruffin, comme chacun d'entre nous, a gagné le droit de s'exprimer.
Les amendements nos 2499 de Mme Sabine Rubin et 2505 de M. Éric Coquerel sont défendus.
Quel est l'avis de la commission sur ces amendements ?