Je crois que nous ne nous comprenons pas, monsieur le rapporteur général. Le crédit d'impôt que j'ai proposé il y a quelques jours était destiné aux simples consommateurs et portait sur des objets du quotidien. Ici, il s'agit de proposer un suramortissement à des professionnels pour les inciter à changer leur modèle et acquérir des machines qu'ils ne vendront plus mais mettront en location d'usage auprès de différents opérateurs – des photocopieurs, par exemple. Le suramortissement a fait ses preuves dans l'acquisition de matériel informatique ; vous ne le critiquez pas dans ce cadre : demain il concernera l'économie de la fonctionnalité. Je pense que nous devrons en discuter plus longuement – mon amendement est en effet le dernier examiné ce matin.