Je vous suggère aussi un retrait dans l'attente d'un travail en commun sur le sujet. Dans un rapport publié en 2018, l'IGF – l'inspection générale des finances – formulait trois critiques à l'égard de la TGAP-Air : elle a un faible rendement ; elle est très volatile car elle dépend de l'activité économique ; elle n'incite pas à la réduction des émissions de particules nocives pour l'environnement. L'outil n'est donc pas forcément le plus légitime et, de plus, il est très volatil. Dans ces conditions, revenons plutôt sur le sujet en seconde partie du budget, lors de l'examen des crédits.