« Déléguer notre alimentation, notre protection, notre capacité à soigner notre cadre de vie au fond à d'autres est une folie. Nous devons en reprendre le contrôle [… ]. Les prochaines semaines et les prochains mois nécessiteront des décisions de rupture en ce sens. Je les assumerai. » Voilà ce que déclarait le Président de la République au printemps. C'est donc sous son égide que j'ouvre cette série d'amendements.
Nous sommes en automne, des mois ont passé et le temps des ruptures est venu. Vous avez un cas d'école pour agir.