J'avoue que je suis surprise. J'ai fait le lien avec l'AFITF parce que c'est là que vont les recettes, mais mon amendement répond surtout aux rapports qui convergent tous. L'un d'eux, publié le 16 septembre, affirme que la rentabilité prévue à l'échéance des contrats de concession – 2031 et 2036 – sera atteinte, pour les deux plus grosses sociétés notamment, dès 2022, soit bien avant. Je ne comprends pas pourquoi l'État se prive de recettes qu'il pourrait par exemple investir dans le transport ferroviaire.