Monsieur le Premier ministre, il s'appelait Samuel Paty et son nom résonne aujourd'hui dans notre hémicycle comme celui d'un martyr de la République, mort d'avoir enseigné la liberté d'expression. N'oublions jamais ! N'oublions jamais pour ses proches, pour nos enseignants et pour la France.
Ne pas oublier, ce n'est pas seulement laisser couler les larmes de la République sous forme d'hommages et de rassemblements : c'est surtout ne pas oublier d'agir. Assez de renoncements, de résignation et de capitulations coupables. La République du « pas de vagues » est celle qui abdique et qui, finalement, laisse passer les islamistes…