J'irai dans le même sens que M. Ruffin. Les assistantes maternelles n'ont pas été les seules oubliées ; il y a aussi les oubliés du Ségur, qu'il s'agisse des sages-femmes ou des infirmiers de bloc opératoire, les IBODE. Que va-t-on faire pour toutes ces personnes qui ont travaillé, donné de leur temps et parfois risqué leur vie ? Nous sommes plutôt défavorables aux primes mais, si elles existent, elles doivent bénéficier à tout le monde, y compris à tous ces oubliés.