… en espérant que les départements mettent également la main à la poche, ce qui n'est pas gagné compte tenu de leurs difficultés. Oui, 25 euros, quand on est dans la galère, quand on a du mal à payer les factures, quand on a du mal à remplir le frigo, quand on compte derrière la virgule, ça se prend. Mais, soyons honnêtes, ce n'est pas cela qui sortira le métier de la pauvreté ; ce n'est pas cela qui créera des marges pour améliorer le métier.
Pour les pauvres, on compte toujours en millions ; pour les riches, c'est en milliards. Vous avez dégagé 20 milliards d'euros de marge de manoeuvre pour baisser les impôts dits de production pour les entreprises. C'est cent fois plus ! Il y avait déjà eu auparavant le crédit d'impôt pour la compétitivité et l'emploi – cent fois plus. Il y a eu les 10 milliards de flat tax, d'ISF et compagnie. Alors, madame la ministre déléguée, je prends les 200 millions d'euros pour les auxiliaires de vie sociale, …