Comme l'a dit notre collègue Grelier, vous nous avez obligés à vous auditionner sans disposer du texte, puis à procéder à l'examen du texte en commission en ne disposant que de la moitié des informations, et aujourd'hui vous arrivez en cours de séance avec encore de nouveaux éléments.
Par ailleurs, nous ne sommes pas certains de pouvoir finir le texte en temps et en heure, ce qui laisse craindre que les débats soient encore bâclés, comme on commence à en prendre la très mauvaise habitude – si certains s'en satisfont, ce n'est pas mon cas.