Il convient en effet d'aller plus loin dans la défiscalisation des heures supplémentaires, en supprimant également la part patronale des cotisations sociales, comme l'avait fait la loi TEPA – en faveur du travail, de l'emploi et du pouvoir d'achat – de 2007. Cette mesure permettra de renforcer le pouvoir d'achat des salariés et le dynamisme des entreprises.
Cet encouragement fiscal est particulièrement bienvenu dans le contexte actuel de ralentissement économique. Il permettra de soutenir l'activité économique alors que les nuages s'amoncellent au-dessus d'elle.