Avec quelques centaines d'euros de charges supplémentaires, parce qu'il faut du désinfectant, des lingettes, du gel hydroalcoolique, des masques – vous savez ce qu'a pu représenter, durant la pénurie, le coût d'une cinquantaine de masques – , il ne leur reste plus grand-chose à la fin du mois.
Nous sommes nombreux, à leur contact, capables de mesurer précisément, voire mathématiquement, ces difficultés. Nous proposons donc un geste concernant ces charges nouvelles, afin de les aider à garder un minimum de revenu décent, eu égard au travail important qu'elles accomplissent.