Puisque le président nous a incités à poursuivre le débat, je voudrais remarquer que nous sommes bien sûr au coeur d'une crise qui n'a donné à voir qu'une part d'elle-même, le pire, en matière économique et sociale, étant sans doute devant nous. Mais nous devrions en tirer des leçons structurelles pour l'avenir, notamment en matière de partage de la valeur ajoutée.
D'abord, s'agissant du coût du travail industriel, la France a pendant longtemps été plus compétitive que l'Allemagne, et elle l'est même redevenue il y a quelques années.