Ils réclament une approche moins verticale, moins technocratique. Ils regrettent que l'État « manie le bâton » – je les cite – et recommandent, à la place de ces mesures coercitives, une approche plus ouverte et plus inclusive. Or la réponse donnée au Conseil scientifique, c'est le couvre-feu.
Nous ne sommes pas là pour discuter cette mesure, mais pour discuter la manière dont elle a été décidée.