J'ai beaucoup de mal à comprendre ce qui est reproché ici au Gouvernement. Je vous rappelle qu'au tout début de la crise sanitaire, alors que nous venions d'entrer dans l'état d'urgence, il lui était précisément fait grief de ne rien avoir prévu, de n'avoir pas anticipé le fonctionnement de la justice au quotidien. Aujourd'hui, on lui reproche d'anticiper et de prévoir d'éventuelles carences : c'est un paradoxe absolu !