C'est une décision de nature politique.
Il est essentiel qu'un dialogue s'instaure avec les établissements concernés, sans quoi vous les asphyxiez. L'asphyxie, que j'ai évoquée ce matin à l'ouverture de cette discussion budgétaire, guette l'ensemble des opérateurs de la mission. Mécaniquement, sans compensation, leurs marges de manoeuvres disparaissent progressivement ce qui oblige les organismes et les établissements à jouer différemment avec leur masse salariale en ayant moins de moins d'emplois à pourvoir. Il y a là un problème majeur. Ne nous dites pas que c'est la conséquence de la loi de 2007 ! Celle-ci a créé un nouveau mécanisme, mais c'est au ministère qu'il revient de prendre ou non ses responsabilités. Et, manifestement, vous ne semblez pas vouloir les prendre.