Cet amendement, qui fait suite au récent débat sur la réautorisation des néonicotinoïdes dans l'enrobage des semences de betterave, tend à abonder le budget de l'INRAE afin de financer la recherche d'éléments ou de pratiques de substitution à cette molécule. Ce chiffre de 7 millions d'euros est tiré des annonces du ministre de l'agriculture sur les besoins de la recherche pour pouvoir enfin se passer des néonicotinoïdes d'ici à 2023.