Vous le savez, mon ministère attache une importance toute particulière à l'internationalisation de la recherche ; il soutient les sciences humaines et sociales sur ce sujet comme sur d'autres – en témoigne le doublement des délégations auprès du CNRS qui leur seront réservées dans les années à venir.
Nous avons développé des instruments en faveur de l'internationalisation dans le cadre des programmes prioritaires de recherche et dans celui de l'ANR, mais aussi, plus spécifiquement, en soutenant le réseau des instituts d'études avancées et l'INSHS – institut des sciences humaines et sociales du CNRS – , qui favorise la mobilité internationale.
S'agissant des questions de traduction, les chercheurs nous demandent plutôt de pouvoir partager la pensée grâce à l'organisation de colloques ou de séminaires internationaux.