Je suis d'accord avec M. Saint-Martin. Effectivement, il ne s'agit pas de crédits relevant du titre 2, et certaines des dépenses visées concourent bien à l'investissement. Ainsi, l'enveloppe de 150 millions d'euros destinée à financer une recherche duale dans le secteur spatial participe bien à la politique de relance et de développement. J'ajoute qu'une partie des entreprises concernées par ce plan de relance ou d'investissement sont évidemment françaises ; comme les autres, elles souffrent de la conjoncture, et l'achat public constitue aussi un levier pour les aider à traverser ces difficultés. Avis défavorable.