… car il y va des emplois de demain.
Voilà pourquoi nous faisons le choix de ramener le taux d'IS de 33 % à 25 % sur la durée du quinquennat. La mesure était d'ailleurs défendue par d'autres candidats à l'élection présidentielle.
Cette baisse ne fait pas de la France un nouveau paradis fiscal pour les multinationales : elle aligne notre pays sur la moyenne européenne. Elle bénéficiera en premier lieu à nos PME, pour qui, vous le savez, le taux moyen d'IS est plus élevé que pour certaines entreprises multinationales. En parallèle, au niveau européen et international, nous devons poursuivre notre lutte contre l'optimisation fiscale agressive et contre l'érosion des bases fiscales.
En somme, notre politique marche sur ses deux jambes : nous nous engageons pour l'harmonisation de nos politiques fiscales et, en même temps, nous soutenons résolument, sans ambiguïté, nos entreprises qui créent de la valeur et des emplois dans notre pays.