Je me fonde sur l'article 58 de notre règlement, car j'ai été mise en cause personnellement.
Monsieur le ministre, depuis les débats en commission, vous m'avez désignée comme une sorte de tête de turc – je partage ce rôle avec Mme Wonner – et vous refusez de répondre à mes interrogations, qui ressemblent pourtant à celles des autres collègues, et de réagir à nos propositions sinon pour mettre en cause ma personne. C'est ridicule : personne n'est dupe de la fausse humilité et des rodomontades dont vous faites preuve !
Pour la bonne tenue des débats, cher ministre Véran, et pour préserver ce qui vous reste de crédibilité aux yeux de la population, …