Le résultat est grave car le fantastique mouvement de solidarité des professionnels de santé, des étudiants et des intérimaires qui s'est manifesté lors de la première vague nous fait défaut pour affronter la seconde. Vous agissez pour l'hôpital, qui en a certes bien besoin, mais vous oubliez les professionnels de santé dans nos territoires.