Comment répond-on à cette première secousse : choisit-on la démocratie, le débat, la confiance, l'échange entre les citoyens, ou préfère-t-on l'arbitraire, le bâton, la réponse policière ? Cette dernière solution, le scientifique James Lovelock l'envisageait : « Face à la crise écologique, il peut être nécessaire de mettre la démocratie de côté pour un moment. » C'est la voie que vous avez choisie, mettre la démocratie de côté.