Nous sommes d'accord sur le fait qu'aujourd'hui, le manque de crédits pour assurer les indispensables dépenses de fonctionnement ou de petite maintenance use le quotidien des gendarmes et les empêche d'accomplir pleinement leur mission en nuisant au moral des troupes. Cependant, on peut penser que l'application conjointe du plan de relance et du plan « poignées de porte » se traduira par une amélioration de l'état du parc immobilier de la gendarmerie nationale et par une stabilisation, voire une baisse des dépenses de fonctionnement. On peut donc penser que les moyens prévus seront suffisants. Je suis donc défavorable à cet amendement.