Je ne partage pas ce qu'a dit le rapporteur spécial. Vous avez prolongé pour juin, juillet, août – et je ne me souviens plus si cela allait jusqu'en septembre – , mais je vous parle, moi, de maintenant. Maintenant, les anciens boursiers qui ont fini leurs études et n'ont pas trouvé de travail n'ont rien. Ils ne peuvent par définition pas compter sur leurs parents puisqu'ils étaient boursiers. Il faut leur assurer un filet de sécurité car, comme l'a rappelé François Ruffin, l'aide à la recherche de la première embauche pour les boursiers a été supprimée en janvier 2019, et ils n'ont donc rien de rien. Ils ne peuvent même pas aller déjeuner au CROUS pour 1 euro, puisqu'ils ne sont plus étudiants. Je vous repose donc ma question, monsieur le rapporteur spécial.