Il vise à renforcer les aides au logement, qui ont été rabotées les années précédentes et dont l'utilité devient évidente alors que la pauvreté gagne du terrain et continuera d'en gagner. En effet, 20 % des ménages les plus modestes n'ont pas pu épargner entre mars et août ; il est urgent de mettre un coup d'accélérateur sur les aides fortement redistributives telles que les APL, afin d'éviter que les personnes qui les touchent ne se surendettent ou soient évincées de leur logement.