Vous consacrez certes 15 milliards d'euros à la filière aéronautique, mais cette aide ne concerne pas les sous-traitants, qui se trouvent dans la plus grande galère. Vous m'avez invité à me rendre au Pôle Emploi de Chantilly. Je vous invite à mon tour à venir rencontrer les sous-traitants de Méaulte. Pour eux, pas de ruissellement ! L'argent versé à Airbus ne parvient pas jusqu'aux licenciés de la sous-traitance, lesquels – j'aurai l'occasion d'en reparler – se retrouvent désormais en slip.