Ce n'est plus un trou dans la raquette, mais une béance !
Vous le savez bien, dans les secteurs de l'hôtellerie, de la restauration et de l'événementiel, tout est mort depuis un bout de temps – et pour encore un paquet de temps, c'est à craindre.
Nous allons aider ces secteurs à surmonter la crise, du moins je l'espère, afin d'empêcher la disparition des petits commerces, des restaurants, des hôtels. Mais il faut aussi aider, en même temps, les salariés et les précaires de ces secteurs qui reposent beaucoup sur des extras, des intérimaires, des travailleurs en CDD – contrat à durée déterminée – d'une durée qui n'excède parfois pas les quatre à douze heures.
Nous ne pouvons pas aider les entreprises sans aider les précaires qui y travaillent régulièrement. L'augmentation du nombre des allocataires du RSA, qui est de 10 % dans certains départements et devrait encore se poursuivre, c'est eux, entre autres !
J'ajoute qu'il serait efficace économiquement d'aider des gens qui risquent de sombrer sinon dans la pauvreté.