On parle donc ici de la santé de l'homme et de celle de la terre. Je connais la réponse libérale : les collectivités n'ont qu'à se débrouiller. Mais certaines sont très riches, d'autres très pauvres ; certaines ne sont pas motivées.
Nous avions arraché l'année dernière 50 premiers millions pour ce combat ; nous souhaitons aujourd'hui, dans le premier amendement, passer à 280 millions, les amendements de repli proposant 100 et 50 millions, soit pour le dernier le doublement de la somme obtenue l'année dernière. Faites au moins cela !
C'est là l'un des sujets desquels nous avons le plus parlé et sur lequel nous avons le moins agi depuis la loi ÉGALIM. Il permet pourtant d'agir en faveur de l'égalité territoriale ; un réseau national, cela ne coûte presque rien alors que les résultats, en matière de prévention et de santé, sont énormes.
Depuis le début des débats du PLF, les oppositions n'ont rien gagné, pas un amendement !