Les aides que vous instaurez ne ciblent absolument pas les secteurs exposés à la concurrence internationale.
Surtout, la différence avec les autres pays est si énorme en matière de fiscalité et de normes sociales et éventuellement environnementales qu'on ne s'en sortira pas de cette course qu'on mène depuis trente ans. En 1984, l'impôt sur les sociétés s'élevait à 50 % ; aujourd'hui, vous le baissez à 25 %, mais ce ne sera pas suffisant car ces entreprises réclameront encore plus de baisses.