Quand on parle de la médecine scolaire, il faut aussi penser aux lycées comprenant des internats, où la situation est encore pire : quand un élève est malade en pleine nuit, la vie scolaire n'a pas le droit d'intervenir directement et n'a donc pas d'autre solution que d'appeler les pompiers, ce qui est aberrant. Comment peut-on concevoir que des élèves qui passent toute la semaine dans un établissement scolaire ne bénéficient pas d'une présence médicale permanente, notamment dans les lycées professionnels, où des accidents sont plus susceptibles d'intervenir ?