J'avais déjà bien retenu, l'an dernier, cette explication, qui m'avait surprise. Voilà ce que j'avais compris : dans les collèges ou les lycées où il n'y a pas d'assistants sociaux, les principaux ou les proviseurs n'ont pas la possibilité de se saisir de ces fonds ; certains établissements manquent de personnel pour appréhender, apprécier et redistribuer ces sommes, qui sont pourtant nécessaires. Ce n'est pas parce que ces crédits ne sont pas utiles qu'ils ne sont pas consommés ; c'est parce que personne ne connaît leur existence et qu'il n'y a assez de personnel pour en faire la promotion.