Le Président de la République l'a rappelé hier : ils risquent plus que d'autres d'être touchés par la maladie, de décrocher, de basculer dans la précarité et la misère. À ces indépendants qui pointent pour la première fois au RSA, à ces étudiants qui ne trouvent pas de petit boulot, à ces familles monoparentales, à ces jeunes de l'Aide sociale à l'enfance, nous devrons trouver des solutions. Si les annonces faites par le Gouvernement la semaine dernière ne devaient pas suffire, nous devrons les compléter.
N'oublions pas non plus la jeunesse, qui est au coeur du plan de relance et qui doit rester au coeur de nos préoccupations. Tout doit être mis en oeuvre pour que chaque jeune ait accès à une formation ou à un emploi, et puisse ainsi sereinement envisager l'avenir.
N'oublions pas les associations, les entreprises, les commerçants, les restaurateurs, les artistes.