Parce que la situation est difficile, vous auriez intérêt, pour vous-mêmes et pour le pays, à partager la décision – à condition de ne pas le faire sur le mode de la discussion de comptoir, comme mardi dernier lors de la réunion avec les présidents de groupe et les chefs de parti. Or vous faites tout le contraire. Par exemple, le projet de loi autorisant la prorogation de l'état d'urgence sanitaire comporte, outre cette prorogation, une liste d'habilitations à légiférer par ordonnances, qui occupe quatre pages.